CONTRE LES VENTES AUX ENCHÈRES, PHYSIQUES ou VIRTUELLES, LE COMBAT CONTINUE!

Hier l’association notariale de l’Attique avait décidé de reporter les ventes aux enchères prévues pour ce mercredi dans les tribunaux de l’Attique.

Ailleurs, semble t il elles se poursuivent.

Le pouvoir et ses complices tente de déjà passer par la voie électronique . Ainsi, ce jour 13 ventes sont mises en ligne … C’est sans compter avec la mobilisation citoyenne: le mouvement DEN PLIRONO ( Je ne paye pas ) a décidé de maintenir ses mobilisations cet après midi devant ou dans les Tribunaux.

Par ailleurs, ce matin vers 10h , des membres du parti Unité Populaire ont manifesté devant l’étude du notaire de Vassilakis Piraeus en faisant valoir que, en dépit des affirmations contraires, les enchères se poursuivent.

Les membres de l’Unité Populaire tentent d’arrêter la vente aux enchères d’ une habitationde 67 m² pour des dettes de 114 000 EUR à la banque , malgré les assurances du gouvernement qui prétend qu‘il n’ y a pas de ventes aux enchères résidentielles avec une valeur objective de moins de 300 000 euros.

Témoignage en grec de Mr LAFAZANIS, sec.général de LAE : https://youtu.be/xOf7SKeYVWA

Hier, prenant la parole hier à l ‘ « Agence FM» Le ministre de la Justice Stavros KONTONIS a réaffirmé que le cadre institutionnel existant pour protéger la résidence principale est absolu.

Pourtant, le député de SYRIZA, Nikos Filis , continue d’avoir une opinion différente, en faisant valoir que le cadre actuel protège partiellement la résidence principale et en soulignant la nécessité d’ une législation « qui imposera formellement que pendant toute cette période il ny aura pas de ventes aux enchères pour une maison d’ une valeur objective inférieure à 300 000 euros ».

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De son côté, sur facebook, Leonidas Papadopoulos membre du mouvement « Je ne paye pas » a parlé de « tsunami d’enchères, dont la grande majorité concerne des propriétés d’une valeur inférieure à 300 000 €, en dépit des affirmations du gouvernement opposés à un accord verbal avec les banques ». Il a mentionné ainsi le cas d’une mise aux enchères pour des dettes qui ne dépassent pas 2.000 euros !